La rivière Sure qui parcourt la Vallée est d’une longueur de 17,5 km

Elle traverse quatre communes (dans le sens amont vers aval) :

  • Saint-Julien-en-Quint
  • Saint-Andéol
  • Vachères-en-Quint
  • Sainte-Croix (confluence)

Elle a quatre affluents référencés :

  • le ruisseau de l’Infernet d’une longueur de 5,3 km
  • le ravin du Buchiller d’une longueur de 4,6 km
  • la Chaumette d’une longueur de 1,5 km
  • le ruisseau de Vachère d’une longueur de 3,7 km

Concernant la toponymie, Pierre Gastal apporte les réflexions suivantes :

La Sure affluent de la Drôme se nommait  Sura en 1254

La vallée s’appelait autrefois la Tuez probablement  du nom du Serre de Montué qui la domine :

  • en 1245 – Sanctus Julianus de Tués
  • en 1449 – Prioratus de sancto Juliano de Tuys
  • en 1450 – Cura sancti Juliani de Tuis
  • au XIVe s. – Prioratus sancti Juliani de Thuys

Autres toponymes :

  • Rivière de Sur : afflluent du Chassezac, département de l’Ardèche, 12,9 km.
  • La Sûre (Sauer en all.) : affluent de la Moselle, rivière du Luxembourg, de la Belgique et de l’Allemagne, Sura (Ausone IVe s.)
  • La Suhre/Sure : afflluent de l’Aar en Suisse alémanique. Étymologie obscure :1) rac. pré-IE sur-, tempête, tourmente (Mourral) ?? (surtout donné à des oronymes) ;2) (pour 2 et 3) du germ. sauer, aigre, acide, marécageux. (TGF, E. Nègre 1996)
  • La Sure, hameau au-dessus d’Autrans en isère
  • La Grande Sure en Isère. (1920 m), sommet de la Grande-Chartreuse

N.D.W. page 8 du « Pouillié historique du diocèse de Die », années 1949/1950 on lit : « Saint-Julien en Quint, – S.Julianus de Tues, S. Julianus de Valle-Quinti, – commune du canton de Die, où était un ancien prieuré de l’ordre de Saint-Antoine, dépendant de la commanderie de Sainte-Croix, dont le titulaire percevait les dîmes de la paroisse affernées 235 livres net de toutes charges »

N.D.W. il semble que suivant les sources la Vallée portait soit le nom de Quint soit celui de Tuez.
Le Château ou Tour-de-Quint a été ainsi nommé, parce qu’il était situé  « ad quintum lapidem de Dea » au cinquième mille, selon Aymar du Périer et d’Anville. Il donna le nom à la Vallée.

Voir l’article « Tours de Quint et toponymie »